Projet de la pensée complexe ODEA

et son média alternatif Dial Human-TV

Projet O.D.E.A.

·       Créer une Communauté Internationale de l’O.D.E.A.

(Ontologie, Déontologie, Ethique et Altérité)

Pour promouvoir une culture mondiale de l’HUMANITÉ

 

·       Créer un Média International alternatif de l’ODEA

Chaine YouTube en sept langues originales

Pour promouvoir l’ODEA 

 D’évidence : ploutocratie et démocratie n’ont pas les mêmes buts et les mêmes conséquences pour les uns ou pour les autres et la terre !

Allo l’humain !

Allo l’HUMANITÉ ! Allo la terre !

Mais c’est quoi ce monde : pourquoi nous abusons TOUT ?

Pourquoi nous portons toute chose à son « paroxysme » : par rationalisme cartésien, par positivisme comtien : par crétinisme humain ?

Nationalisme oblige, le 20 è siècle a connu le NAZIME », et Mondialisme oblige, le 21 è siècle connaitra le « MAZISME » ! 

Albert Einstein disait que « le progrès technique est une hache qu’on aurait mise entre les mains d’un psychopathe » et que le mot progrès n’aura aucun sens tant qu’il y aura des enfants malheureux ! Il évoquait aussi la science, qui, jadis, semblait inoffensive, même pratique, et que nous avons transformée en un cauchemar faisant trembler tout le monde. Nous pouvons ajouter : sauf les scientifiques scientistes et technoscientistes, et bien sûr, leurs donneurs d’ordres ploutocrates affairistes qui en font choux gras !

Il disait aussi : Il y a deux infinis, celui de l’univers et celui de la bêtise humaine ; encore que pour l’univers la chose ne soit pas certaine…  Il était bien gentil en parlant de bêtise humaine car nous confinons à la connerie humaine et qu’elle n’est pas populaire, cette connerie humaine, mais bel et bien élitiste ! 

Repenser l'Avenir de l'Humanité qui est voué à sa disparition avec le transhumanisme !

Totalement indépassable, c’est la raison qui fait la logique, qui, elle-même, fait le savoir qui fait la culture, qui fait la civilisation dans laquelle nous vivons ; et, à raison et logique paranoïaque et schizophrénique : savoir, culture et civilisation forcément paranoïaque et schizophrénique !

Une autre culture s’impose car il nous faut impérativement sortir de cette crise « technoscientiste », de cette fuite en avant rationalo économico technoscientiste ploutocratique, délétère pour la planète, pour l’humain, et l’HUMANITÉ !

Nous pouvons le faire avec la Culture de l'ODEA, pour Ontologie, Déontologie, Éthique et Altérité, qui fonde le « Principe d’HUMANITÉ ». Mais aussi en intégrant un autre savoir, plus récent, déjà existant, qui tient compte de cette complexité ontologique. Il faut comprendre que, les adverbes, naturellement et ontologiquement, possède le même sens. Il nous faut intégrer la pensée complexe de l’ODEA, et aussi ces savoirs bien plus récents, en conformité avec une réalité ontologique fondamentale, contrairement à celle fantasmée par ces sophistes et ces cyniques qui dominent notre monde et notre Humanité. Il le faut en lieu et place d’un simplisme cartésien, et aussi d’un positivisme comtien, qui relève des deux logiques, en fait de deux sophismes que sont le rationalisme cartésien et le positivisme comtien. Il y a là deux impostures intellectuelles, totalement inconvenantes, face à la complexité ontologique incommensurable qui opère ici-bas, aussi dans tout l’univers comme au cœur de la matière !

Comment nous étonner de toutes nos complications quand nous opérons en termes de simplisme dans ce monde tellement complexe. Ce n’est pas le simplisme mais la complexité qui opère en tout et partout.

À l’évidence, dans le monde contemporain, l'humanité est confrontée à une multitude de crises qui menacent notre avenir commun. Ces crises, qu'elles soient écologiques, humanitaires, économiques, politiques, démocratiques, sanitaires ou liées à la science et à la technologie, sont souvent le résultat d'une approche simpliste et réductionniste du monde.

Le simplisme cartésien, caractérisé par la vision de la chose pour la chose et l'individualisme méthodologique, a contribué à fragmenter notre compréhension du monde et à négliger les interconnexions complexes entre les différents aspects de notre réalité. De même, le simplisme du positivisme comtien, axé sur le comment sans se soucier du pourquoi, véritable imposture intellectuelle, à conduit à une vision mécaniste et déshumanisée de la société.

Ces approches simplistes ont engendré des conséquences désastreuses à plusieurs niveaux et créé un monde on ne peut plus crisique !  

Un monde crisique :

Crise écologique.

Nous assistons à une crise environnementale sans précédent, caractérisée par la perte de biodiversité, le changement climatique et la pollution généralisée.

Crise humanitaire.

Des dizaines de millions de personnes sont touchées par la pauvreté, les conflits armés et les déplacements forcés.

Crise économique et même guerre économique mondiale..

Les inégalités croissantes et la précarisation de l'emploi alimentent l'instabilité sociale. Sur le plan politique et démocratique, la montée des mouvements populistes et autoritaires menace les fondements de nos sociétés pluralistes.

Crise sanitaire en santé publique.

La pandémie mondiale de COVID-19 a révélé les failles de nos systèmes de santé et mis en lumière les disparités sociales et économiques. Et que dire de l’oubli du serment d’Hippocrate si vite remplacé par un serment d’hypocrite dans la gestion de cette crise.

Crise scientifique et technoscientifique.

Nous donnons dans le scientisme et le technoscientisme : tout doit être réduit à la science et son corolaire la technoscience !

 Nous sommes confrontés à des dilemmes éthiques complexes liés aux avancées technologiques telles que l'intelligence artificielle, la biotechnologie et la surveillance de masse.

De l’ODEA

Face à ces défis colossaux, il est urgent de repenser notre approche du monde et d'explorer des solutions novatrices et intégratives. La culture de l'ODEA pour Ontologie, Déontologie, Ethique et Altérité, et une valeur d’usage humaine, basée sur cette culture offre un cadre conceptuel pour relever ces défis de manière convenable et convenante.

L'ontologie.

Elle est la logique de l’ÉTANT, et non celle de l’ÊTRE, comme trop souvent enseigné en université. Ceci évite toute forme d’anthropocentrisme tellement délétère, contreproductif en termes d’Humanité. Donc l’Ontologie, de l’ODEA, en reconnaissant l'interconnexion fondamentale entre l'ÉTANT et l’ÊTRE, avec la priorité à l’ÉTANT, nous invite à réévaluer notre relation avec le monde qui nous entoure. À reconnaître la valeur intrinsèque de la Nature et des états de nature, telle la nature humaine, aussi le concept de société, et non celui exclusive du « MARCHÉ » qui résulte d’économistes technoscientistes, on ne peut plus, sophistes et cyniques. Une société, résultante de l’intelligence collective, collection des intelligences individuelles, mais pour tous, pour l’HUMANITÉ, et non pour quelques-uns ! De ceux, qui méprise le peuple, et qui se prennent pour des élus de Dieu chargés d’un messianisme technoscientiste nous envoyant vers le transhumanisme, ou encore se prenant pour des démiurges, tout juste sortis de la cuisse de Jupiter !   

La déontologie,

Elle nous rappelle qu’il y a des règles : celles de la Nature et qui sont plus fortes que celle du savoir humain, que ce dernier doit respecter sous peine de sanctions terribles. Des lois déterminées de la Nature et des « états de nature », mais qui sont non-déterministes … ce qui est visiblement difficile de compréhension, pour un esprit tenant du simplisme avec des aboutissants de même nature !

La nécessité de règles, des règles individuelles, mais aussi collectives, qui, forcément, sont différentes, mais complémentaires, mais, qui, ne doivent jamais être, dichotomiques, contradictoires entre elles.  

La Déontologie doit tenir de l’Ontologie ou alors elle n’a aucun sens. Ainsi l’observation de la nature, qui permet d’établir le savoir, nous donne à connaître 3 principes qui sont comme des lois de la nature, comme des états de nature qui ont émergé de la nature première. Il s’agit des lois de : complexité, de diversité et de paradoxalité. Il semble qu’il y est là des principes essentiels, fondamentaux, que notre culture rationalo positivo technoscientiste contredit et même contrarie, de façon permanente !

La déontologie, nous rappelle l'importance de principes éthiques universels. Elle doit nous guider dans nos actions et nos décisions, en veillant à ce qu'elles respectent la dignité et les droits de tous les êtres vivants. D’où l’Ethique et l’Altérité.

 L'éthique,

 En nous encourageant à réfléchir aux conséquences de nos choix et de nos actions, nous pousse à privilégier le bien-être commun plutôt que les intérêts particuliers. L’éthique, et l’idée est d’une évidence, consiste à ne pas faire à l’autre, aux autres, ce que nous ne voudrions pas que l’on nous fasse ! Ceci n’est ni scientifique, ni mathématique, mais philosophique, qu’un effort de l'esprit pour se rendre compte de l'évidence.

 L’altérité.

Ou la diversité, une loi de la nature, qui nous invite à reconnaître une diversité naturelle intrinsèque. Il y a une nécessité impérative à respecter ce qui est autre, dans la Nature et dans la nature humaine.

Mais les solutions ne s'arrêtent pas là.

Le « Principe cognitif de Pascal

Il a plus de trois siècles, et alors qu’il posait la complexité avec deux siècles d’avance sur la systémie, l’écologie et la physique quantique : il n’en est toujours pas tenu compte !

Le« principe cognitif » de Blaise Pascal légèrement modifié ici pose que : « Toute chose étant causée et causante, constituée et constituante, conditionnée et conditionnante, (englobée et englobante, aidée et aidante, médiate et immédiate… disait Pascal) et, toutes s'entretenant par un lien naturel et insensible (lien systémique et même écosystémique) qui lie les plus éloignées et les plus différentes, je tiens pour impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus que de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties ». Ce principe de simple bon sens, nous rappelle l'importance de reconnaître la complexité et l'incertitude inhérentes à la réalité. Plutôt que de chercher des réponses simples à des questions complexes, nous devons embrasser la complexité et apprendre à vivre avec l’incertitude et l’obligation d’une introspection cognitive humaine régulière en lieux et place de cette fuite en avant rationalo économico technoscientiste intenable à termes, sauf à être humainement fou !

Le principe cognitif de Blaise Pascal, nous rappelle l'humilité nécessaire pour aborder les mystères de l'existence et les limites de notre compréhension. Ce principe nous encourage à cultiver une attitude d'ouverture et de curiosité envers le monde qui nous entoure, plutôt que de chercher à tout expliquer de manière rigide et définitive.

La physique quantique et ses conclusions hautement philosophiques

Les enseignements de la physique quantique, consacrent la complexité contre le simplisme, et nous invitent à adopter une vision plus nuancée et écosystémique du monde. En reconnaissant l'interdépendance et l'incertitude fondamentales de notre réalité, nous sommes amenés à repenser nos paradigmes scientifiques et technologiques, en intégrant une approche plus équilibrée et respectueuse de la complexité de la vie.

À l’instar du « Principe cognitif » de Pascal enseigné nulle part : qui connait les acquis intellectuels du 20 ème siècle ?

Des acquits intellectuels qui bientôt auront un siècle, et qui limitent la connaissance, tant dans le domaine du « raisonnement » que dans celui de l’action :

-  Le « théorème d’incomplétude » de Gödel et Chaitin : incomplétude des mathématiques avec lesquelles ils entendent nous diriger et nous réduire. 

- Le « théorème d’incertitude » d‘Heisenberg : rien n’est certains en termes de résultats dans un monde complexe et à fortiori dans le mode métaphysique des humains ! Un bien, au bout du compte, peut très bien s’avérer un mal et inversement avec le temps.

- Le « théorème d’impossibilité » d’Arrow : Il est impossible d'agréger un intérêt collectif à partir des intérêts individuels (autrement dit le moins ne peut pas le plus) comme de définir un bonheur collectif à partir de la collection des bonheurs individuels. Ce ci remet en cause l’individualisme méthodologie ou l’atomisme de la science du moins en sciences sociales.

Ces acquits intellectuels du XX è siècle qui limitent la connaissance tant dans le domaine du raisonnement que de l’action nous renvoient vers la prudence et la sagesse philosophique d’il y a deux millénaires. 

 Ce qui attend l’humanité est une véritable régression !

L’HUMANITÉ n’est pas une jungle dans laquelle certains humains, dominateurs sur d’autres humains, voudraient nous faire revenir avec un « darwinisme social » si cher au Nazisme et aussi, il faut le dire à cette culture anglo-saxonne sophiste et cynique de l’Utilitarisme et de tous ces mots en « isme » qui sont comme autant de paroxysmes : comme autant d’abus de tout ! Nous dirigeons vers le « MAZISME », un mondialisme basé sur un « crédit social » qui n'est rien d’autre qu’un « néodarwinisme » qui fera que les « Droits Humains », de l’Omnisme, comme ils disent un peu trop pénalisant pour l’affairisme mondialiste ; ces « Droits Humains » ne seront plus inaliénables mais aliénables, précisément par ce « crédit social » ! Là, arrivé là, tous les droits seront aux ploutocrates et leur affidés politichien cynique, et bien sûr leurs capos, et tous les devoirs aux peuples de la terre !

 Une Communauté Internationale de l’ODEA

Il faut agir mondialement pour créer une « MONDIALITÉ », contre un mondialisme exclusivement ploutocratique. C’est précisément l’objet de ce projet ODEA, de créer une Communauté Internationale de l’ODEA. Ce projet propose également la création d’un média dit « alternatif » original, ceci par le biais d’une chaîne YouTube qui diffusera en sept langues originales.

Ce projet explore les différentes crises que notre humanité traverse, et après en avoir trouvé les causes principales, qui relèvent d’un vrai problème de connaissance et de savoir, propose des solutions basées sur une approche en termes d’ODEA, mais aussi par une rationalité basée sur une logique complexe « écosystémique » et même « métaécosystémique », intégrative, pour faire « ÉCOSOCIÉTÉ » et non exclusivement « MARCHÉ » économique.

En intégrant la culture de l'ODEA, le principe cognitif de Blaise Pascal et les enseignements de la physique quantique, nous pouvons espérer surmonter les défis actuels et bâtir un avenir meilleur pour tous.

La mise en œuvre de cette nouvelle culture de la complexité.  

Bien sûr, la mise en œuvre de ces solutions, de cette culture à contrecourant, ne sera pas sans défis.

Les intérêts particuliers et les structures de pouvoir établies s'opposeront probablement à tout changement significatif qui remettrait en question leur prédominance. Cependant, nous devons rester fermes dans notre engagement envers le bien-être de l'humanité et de la planète, en nous appuyant sur ces principes fondamentaux pour guider nos actions et nos choix.

En conclusion :

Sortir de la crise rationalo technoscientiste qui menace notre avenir nécessite un changement profond dans notre manière de penser et d'agir. En adoptant la culture de l'ODEA, le principe cognitif de Blaise Pascal et les enseignements de la physique quantique, cette nouvelle pensée complexe, nous pouvons espérer façonner un avenir plus juste, plus durable et plus humain pour tous.

Mais, il faut opérer au plan mondial et proposer une cuture de la « MONDIALITÉ » contre celle du "MONDIALISME" ou plus exactement du  « MAZISME » qui guette notre Humanité !   






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